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 PCW ✖ Never say goodbye because saying goodbye means going away, and going away means forgetting.

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Phoenix Cruz-Wilson

☇Welcome to hell,
Phoenix Cruz-Wilson

Date d'inscription : 11/02/2013
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MessageSujet: PCW ✖ Never say goodbye because saying goodbye means going away, and going away means forgetting.   PCW ✖ Never say goodbye because saying goodbye means going away, and going away means forgetting. EmptyLun 11 Fév - 10:26




Phoenix Cruz Wilson


Nom: Cruz-Wilson, un nom de scène. Ҩ Prénom : Phoenix, tout autant de scène, je ne me souviens pas un jour avoir eu un autre prénom. Ҩ Age: 23 ans, un peu plus, un peu moins. Ҩ Date & lieu de naissance: Ici, à Louisville, je n'ai jamais bougé. Et c'était en hiver. Ҩ Statut civil: Libertine. Ҩ Orientation sexuelle: Les hommes virils. Ҩ Métier: Prostituée pour arrondir les fins de mois, sinon, chaumeuse. Ҩ Depuis combien de temps dans cet hôpital: Je n'y vis pas. Ҩ La raison de votre présence dans l'hôpital: Se référer à la question précédente. Ҩ Avatar: Troian Bellisario. Ҩ Groupe: I'm from the outside.
Orpheline depuis toujours Ҩ A grandit dans un orphelinat du quartier Ҩ A toujours voulu croire au grand amour Ҩ A dix huit ans, est partie de l'orphelinat et a vécut durant deux ans chez un homme de trente ans de plus qu'elle Ҩ à sa mort, elle a commencé un job de prostituée pour pouvoir se payer un petit studio miteux dans le quartier sud Ҩ Aimerait être une princesse des histoires pour gosse Ҩ n'est pourtant jamais tombée amoureuse Ҩ adore les chiens, mais déteste les gosses Ҩ voudrait faire un autre travail, mais n'a aucune qualification Ҩ passe pour une fille facile qui ouvre ses jambes pour tous Ҩ a une fascination énorme pour cet hôtel psychiatrique Ҩ a déjà reçu des demandes pour faire son "job" dans l'hôtel justement Ҩ aime y entrer et voguer dans les couloirs, même si c'est interdit Ҩ a rencontré un prisonnier étrange dans l'ancienne salle de torture Ҩ est une salle peste malgré tout

pseudo : Suika. Ҩ âge : 18 ans. Ҩ avis sur le forum : ouii MG esclave coeur . Ҩ comment as-tu trouvé le forum : Merci Soha coma . Ҩ double compte? Not yet. Ҩ crédit : Principalement tumblr.


© Suika



Dernière édition par Phoenix Cruz-Wilson le Jeu 14 Fév - 17:05, édité 5 fois
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Phoenix Cruz-Wilson

☇Welcome to hell,
Phoenix Cruz-Wilson

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MessageSujet: Re: PCW ✖ Never say goodbye because saying goodbye means going away, and going away means forgetting.   PCW ✖ Never say goodbye because saying goodbye means going away, and going away means forgetting. EmptyLun 11 Fév - 10:26



Votre histoire


Une goutte. Deux gouttes. Ça tombe, ça saigne. Le cœur et l'esprit. Un anniversaire, des bougies. Un chant lugubre. Ils sont là, les mêmes, tout le temps. Silence. Un paquet est déposé contre une porte de bois brute. Un petit paquet de papier journal. Il braille, il bouge, il hurle. Des pas se font entendre, une porte s’ouvre. Une dame en robe de chambre aussi large que haute. Sans un regard pour la silhouette qui s’éloigne, elle ramasse le paquet. C’est son job. Son métier, et elle s’en contrefout. Claquement. Silence. Tout est calme. Personne ne peut se douter de ce qu’il est en train de se passer. Ni vous. Ni eux. Ni elle. Son premier crime fut de naître. Son premier crime d’une longue série. Vrai ou pas, le destin est tracé. Le destin est lancé. Pleure petit enfant, pleure jusqu’à te dessécher. La mort ne sera que délivrance. Un seul mot. Quatre lettres. Un bout de papier craft. « A donné » Sonne comme un souffle étrange et meurtrier.

Cinq ans ont passé. Laissant sur leur chemin les pluies de l’innocence. Le temps s’écoule. Doucement, inexorablement, envoyant sur le monde son dégoût de l’humanité, ses rires d’aiguilles et ses souvenirs d’antan. Le temps se moque de nous. Le temps est libre. Le temps est là, et ne vous quittera jamais. Courrez, faible et minuscule. Personne n’échappe à son nom, à son rire, à son cœur. Mortellement dangereux quand vient le mauvais temps. Souffrez gentes dames. Souffrez et criez. Il n’y aura jamais rien d’autres. Dix ans ont passé. Ce bâtiment qu’ils appellent Orphelinat n’éclate qu’un peu plus chaque jour. Trop de jeunes. Trop de souffrance. Trop d’amour déversé. Trop de vie. Elle a dix ans. Elle ne sait où donner de la tête. Elle est seule. Elle n'a pas de nom. Juste un numéro. Tout le monde la connaît. Elle n’aime personne. Sa prison, ses geôliers. Du haut de son petit mètre vingt, cette jeune fille ne parle pas. A quoi bon ? On l’a abandonné. On ne l’aime pas. C’est ce qu’on lui répète à longueur de journée. C’est ce qu’elle pense. L’endoctrinement. De moins en moins de jeunes adultes viennent la voir. Elle a mauvaise réputation. Qui voudrait d’une petite fille qui ne sait pas parler ? Qui a des yeux trop grands et trop vide ? Personne.

« T’es qu’une pourriture. T’es même pas belle. » Les enfants sont cruels. Cruels et sans cœurs. Mais ils pardonnent. Trop vite, trop tôt. Elle pas. Elle ne veut pas. Elle espère encore toujours qu’un couple la trouvera magnifique. C’est la goutte de trop. Une goutte. Deux gouttes. « Meurt. » Une fourchette enfoncée dans de la chair. Des cris. Des hurlements. Des plaintes. Du sang qui gicle. Une main qui part s’écraser contre une joue mouillée. Des bras qui la soulèvent. Une porte qui claque. Elle est seule. Encore une fois. Punie. Son premier mot. Son premier enfermement. Elle n’a pas voulu lui faire du mal. Non. Elle a voulu le tuer. Le blesser autant qu’elle l’est au fond d’elle-même du haut de ses treize ans. Pourquoi. Question qui revient en elle à chaque battement de paupières. Elle pleure. Elle hurle. Mais la belle n’a peur que d’une chose. Celle de mourir ici. Elle ne veut pas. Mais tout présume le contraire. Tout.



Dix huits ans, l'âge où filles et garçons trouvent leurs voies, trouvent leurs responsabilités. Et comme partout, il faut des exceptions. Ceux qui n'en n'ont rien à faire, qui pataugent, qui courent, qui rampent, qui tombent. Ceux qui meurent et ceux qui vivent. Phoenix en fait parti. Des responsabilités ? Elle ne connait pas. A quoi bon ? Elle n'a personne à qui elle doit être redevable. Pas même un ami. Son seul souhait, son seul désir, celui qu'elle voulait depuis toujours, était de partir. Partir loin de cet orphelinat, de cet endroit sale et étrange. Elle le réalisa à moitié. Pour sa majorité, elle se barra. Mais pas assez loin. Sans passeport ni carte d'identité, elle ne pouvait aller bien loin. Louisville est et restera sa prison personnelle. Mais elle fait face, comme tous. Si elle sombre, c'est la fin. Et elle ne veut pas. Elle rencontre un homme. Mystérieux et pleins au as. Un peu trop vite, elle se fie à lui. Et en moins de temps qu'il n'en faut, elle devient une prostituée de luxe.

Son nouveau passe-temps. Non, son premier. Elle court les rues, choisit ses proies. Elle n'est pas comment toutes ses filles perdues qui font les trottoirs. Non, elle, elle peut se permettre de faire la prostituée de luxe. Parce que le directeur de la boîte l'a prit sous son aile. Elle peut faire ce qu'elle veut, tant qu'elle ramène son cota d'argent chaque semaine. Elle ne connait pas l'attachement sentimentale, et pourtant, elle ne rêve que d'une chose, pouvoir trouver son prince charmant. Celui qui l'aimera, qui l'aidera à sortir de ce trou. Pour qui elle pourrait tout faire, dont lâcher son job lequel, finalement, qu'elle apprécie.



3ème partie : rencontre avec andrew



Phoenix elle aime tout. Phoenix elle n'aime rien. Phoenix elle est lunatique et ne pense jamais deux fois la même chose. On l'aime ou on ne l'aime pas. Ce n'est jamais pareil. Phoenix n'est pas une fille facile. Dans tous les sens du terme. Elle aime la vodka, elle déteste la bière. Elle aime la fumée de cigarette, elle déteste la clope. Une fois c'est oui, une fois c'est non. Il ne faut pas se fier aux apparences, ça n'a jamais été aussi vrai que pour cette jeune femme. Vivre ou pas, telle est sa question existentielle. Pourquoi essayer de survivre quand on a rien ? Pas un sous, pas un toit, pas un chat. Rien. Néant. Boule de gomme et elle saute. Boule de shit et elle meurt. Qui est-elle ? Que fait-elle ? Ses mains sont rouges, ses mains tremblent. Elle a peur. Elle ne se connait pas. Phoenix, elle déteste le chocolat mais elle aime le cacao. Phoenix n'est pas une chienne. Ce n'est rien. Rien qu'un petit bout de femme du haut de ses dix huit ans. Majorité atteinte, enfance envolée. Où vas-t-elle, que fait-elle ? Perdue dans un néant de noirceur, ses pieds la mènent. Partout, nulle part. Aimez-la. Prenez la. Elle n'en veut pas. Elle n'en veut plus.




© Suika



Dernière édition par Phoenix Cruz-Wilson le Lun 18 Fév - 22:38, édité 6 fois
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I am the madman king.
Ashton J. Moriarty

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Ashton J. Moriarty

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MessageSujet: Re: PCW ✖ Never say goodbye because saying goodbye means going away, and going away means forgetting.   PCW ✖ Never say goodbye because saying goodbye means going away, and going away means forgetting. EmptyLun 11 Fév - 18:27

Owi notre troisième admin coeur


Dernière édition par Ashton J. Moriarty le Mer 13 Fév - 17:46, édité 1 fois
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Sloane T. Fincher

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Sloane T. Fincher

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MessageSujet: Re: PCW ✖ Never say goodbye because saying goodbye means going away, and going away means forgetting.   PCW ✖ Never say goodbye because saying goodbye means going away, and going away means forgetting. EmptyMar 12 Fév - 21:24

Pour compléter le trio. Yea !
Bonne chance pour ta présentation. sushi
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Phoenix Cruz-Wilson

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Phoenix Cruz-Wilson

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MessageSujet: Re: PCW ✖ Never say goodbye because saying goodbye means going away, and going away means forgetting.   PCW ✖ Never say goodbye because saying goodbye means going away, and going away means forgetting. EmptyMer 13 Fév - 11:03

Héhéhhé coeur
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MessageSujet: Re: PCW ✖ Never say goodbye because saying goodbye means going away, and going away means forgetting.   PCW ✖ Never say goodbye because saying goodbye means going away, and going away means forgetting. Empty

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