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 Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber.

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Warren M. Harris

☇Welcome to hell,
Warren M. Harris

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MessageSujet: Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber.   Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber. EmptyMar 19 Fév - 2:20




Warren Miles Harris


Nom: Harris Ҩ Prénom : Warren Miles Ҩ Age: 23 ans Ҩ Date & lieu de naissance: 27 novembre 1990 à Lancaster, Angleterre Ҩ Statut civil: Célibataire Ҩ Orientation sexuelle: Hétéro' Ҩ Métier: Camelot Ҩ Depuis combien de temps dans cet hôpital: 3 ans Ҩ La raison de votre présence dans l'hôpital: Il a assassiné son voisin de 28 coups de couteau. Warren à été appréhendé par les autorités, entretenant un discours incohérent faisant état de sa démence. (Psychose) Ҩ Avatar: Adam Brody Ҩ Groupe: I’m so sick, take care of me
Il est atteint d’hypermétropie. Un problème de vu qui n'affecte que sa vision rapproché. Il a toujours détesté porter ses lunettes - préférant forcer sa vue inutilement plutôt que de s'afficher avec ce truc sur le nez Ҩ C'est un décrocheur scolaire. Il a eu de nombreuses difficultés d'apprentissages et plus ou moins de ressources pour l'aider à passer au travers. Il n'a donc jamais terminé le lycée Ҩ Il éprouve énormément d'anxiété. De nature stressé, son internement n'a fait qu’aggraver se qui au départ n'était qu'un problème mineur Ҩ Il adore les comics, les jeux vidéo et les films de série B. Enfin...c'était le cas autrefois. Aujourd'hui il n'y trouve plus autant de réconfort Ҩ Il a un sommeil agité et a des épisodes d'insomnie Ҩ Le pauvre se croit innocent et tout à fait sain d’esprit. Pour lui ce n’est rien de plus qu’un complot ou une mauvaise blague Ҩ Il se débrouille plutôt bien en dessin. Il élabore ses propres croquis de Bd. Ҩ Il a un esprit plutôt gamin ou c'est un grand immature - à vous de choisir. Les mauvaises langues vous diront qu'il a un retard mental quelconque, disons plutôt qu'il a un regard très naïf sur ce qui l'entoure Ҩ Il est très expressif et un peu sans le vouloir. Si il partage difficilement ses émotions, son regard en dit énormément Ҩ Il souffre de son internement plus que n'importe qui. Il a par le fait tenté de s'enlever la vie à huit reprises Ҩ Lorsqu'il se sent désespéré ou attaqué il plonge dans l'impulsivité et la violence. Cela n'en fait pas foncièrement quelqu'un de méchant Ҩ N'a pas confiance au personnel de l'établissement. Pour lui ils sont le symbole de son enfer. Dans un sens similaire, il tien en horreur toute forme d'autorité. Ҩ Il préfère de loin ne pas attirer l'attention. Il est de nature assez distant et replié sur lui-même Ҩ Les contacts physiques le mettent mal à l'aise. Il fuit les marques d'affections comme si c'était la peste Ҩ Il était camelot depuis l'âge de 16 ans. Ce fut le seul emploi qu'il fut capable de tenir à ce jour Ҩ Il n'a plus de nouvelle de son père depuis qu'il est dans cet endroit maudit.

pseudo : Deadbirds Ҩ âge : !! Ҩ avis sur le forum : Waouh! Ҩ comment as-tu trouvé le forum : Dans le bottin de forumactif...Hé oui! Ҩ double compte? Non Ҩ crédit : Aki & Tumblr


© Suika



Dernière édition par Warren M. Harris le Mar 19 Fév - 16:40, édité 7 fois
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Warren M. Harris

☇Welcome to hell,
Warren M. Harris

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MessageSujet: Re: Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber.   Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber. EmptyMar 19 Fév - 2:21



Votre histoire


The prequel

J’étais le 12e enfant à venir au monde au « Oxford Radcliffe Hospitals» en ce 27 novembre 1990. Ma mère était une femme aimante, une infirmière dévouée, une mère…maladroite. La fibre maternelle était une chose qu’elle maitrisait mal. Comme si c’était plus simple d’aider les autres, plutôt que les siens. Il faut dire, je n’étais pas un enfant désiré, j’étais l’effet d’une bombe dans ce couple possédant peu de moyens. Ils voulaient se débarrasser de leurs dettes et se placer un peu les pieds avant de penser à former une famille. Ils durent improviser. C’était un peu par ma faute si leur misère les submergeait. Mon père lui, était chargé de projet dans une entreprise de télécommunication reconnue. Un emploi exigent où les salaires stagnaient depuis cinq ans. Et puis il y avait moi…Warren. Si j’étais un enfant jovial et expressif, mes parents s’inquiétaient tout de même du retard de langage que je trainais. Un détail qui n’alarma pas réellement les spécialistes, je ne présentais aucune autre lacune après tout. J’étais un enfant comme un autre, cherchant l’approbation de son père et l’attention de sa mère. Le hic étaient que ceux-ci était noyés par des horaires difficiles ou abattus par la fatigue d’une journée éreintante. Les déranger n’était pas même une option. On me plaçait, plus souvent qu’autre chose, devant la télé avec des jouets et des peluches. Je n’étais pas un enfant difficile, me contentant de la compagnie de scooby doo ou des looney toons. On récompensa mon attitude passive par de bons commentaires, mais ce n’était pas la meilleure façon d’élever son enfant, ni même de corriger se retard qu’ils jugeaient préoccupant. À trois ans et demi, je commençais tout juste à parler. Des mots simples que j’aurais dû assimiler bien avant. Si mes parents avaient été rassurés par cet effort de ma part, il en fut autrement des médecins qui y voyaient un désormais un problème alarmant. A peine cette annonce reçue que mes parents s’accusèrent de leur négligence, avant même de comprendre qu’ils n’y étaient pour rien. On leur lança des diagnostiques; trouble du comportement, déficience intellectuelle, autisme. Des mots qui font peurs et qui ne servaient qu’à alimenter leurs craintes. Les gens ne savaient pas, se contentant d’annoncer des théories comme si il s’agissait d’une simple grippe. Mettre le doigt sur le problème demandait beaucoup de temps et d’argent, mais un évènement imprévue changea la donne, ma mère était à nouveau enceinte. Une petite fille, Alexis Rose Harris – ma sœur. Si j’étais un enfant à problème, ma sœur elle s’en sortait bien. Mes parents furent rassuré, heureux de voir que leur plus jeune ne présentait aucune faille. Alexis était vive d’esprit, elle m’avait rapidement dépassé dans ma progression. Pendant que moi je bafouillais, elle pouvait entretenir un discours clair – marquant mes problèmes évidents. Cela dit, jamais mes parents ne m’ont comparé à elle, me laissant avancer à mon rythme de tortu. Mais les ressources qu’on m’apportait coutait chère, si bien que les choses se compliquaient. Mon père n’eu d’autre choix que d’accepter la charge d’un poste à Détroit. C’était une promotion intéressante qui leur permettrait de s’en sortir financièrement. À 6 ans, je quittai l’Angleterre pour m’installer dans cette ville qui semblait être à l’autre bout du monde. C’était une année de grands changements, je me sentais égaré dans ce nouveau paysage. Cela concordait d’ailleurs avec mon entré à l’école. Les autres enfants étaient bruyants et énergiques, j’avais éprouvé un inconfort à être parmi eux. C’était la première fois que j’avais été forcé à rencontrer des jeunes de mon âge, autrement je restais souvent auprès de ma sœur qui se faisait garder à la maison. Je m’étais tenu à l’écart comme un animal effrayé qui voulait s’effacer. Je me contentais de patienter jusqu’à la fin de la journée, vivant péniblement les heures me séparant de mon chez moi. L’institutrice m’avait approché, m’incitant à me faire des amis pour rendre ce calvaire moins difficile. Malheureusement, ce problème que j’avais à m’exprimé ne me facilitais pas la vie. Les différences ne passaient pas inaperçues à cet âge. Si bien que la première fois ou j’avais fait le pas, on ne trouva rien de mieux à me dire que je parlais bizarrement. Plus jamais je n’avais tenté de me faire des amis. Quand à mes résultats, ils n’étaient pas les meilleurs, mais j’arrivais à garder la tête hors de l’eau et à réussir mes examens par la peau des fesses. La note de passage me remplissait de joie et bien que je vivais mes années scolaire en solitaire, je n’en souffrais pas outre-mesure. C’est d’ailleurs à cet âge que je développai mon intérêt pour le dessin et les Bd. Lorsque ma sœur me rejoint à l’école, elle démontrait une facilité pour les études. Alors que pour moi, les choses dégringolaient. À neuf ans, je suivais difficilement la cadence. Mes résultats chutaient et des querelles se déclenchaient entre moi et mes camarades de classes. Je cherchais la présence de ma sœur dans la cours de récréation, alors qu’elle voulait plutôt jouer avec ces nouvelles amies. J’étais très proche de ma sœur, ironiquement c’est elle qui m’aidait à améliorer mes lacunes et me défendait des autres enfants. Mais elle ne voulait pas toujours être avec moi, elle voulait faire autre chose que de trainer avec son grand frère maladroit. Puis les choses commencèrent à déraper.

Mes parents se divorcèrent. Ma mère avait trompé mon père avec un interne. C’était à ce demandé où elle prenait le temps. J’étais trop jeune et trop coincé dans mon monde pour comprendre pourquoi les choses devinrent aussi chaotiques. Ce drame que beaucoup de famille connaisse me plongea dans l’insécurité. J’avais l’impression que du jour au lendemain tout avait basculé. Ils avaient voulu me préserver de leurs querelles, si bien que je n’avais pas vu venir cette mauvaise nouvelle. Ma mère quitta mon père et on se battait désormais pour moi et ma sœur. Un combat qui ne dura pas longtemps. Ma mère ne laissa pas passer cette chance de refaire sa vie et c’est mon père qui se chargea de nous. Par chance, j’avais créé des liens beaucoup plus forts avec mon père, bien que j’aimais inconditionnellement ma mère. Après leurs séparations, mon père passa tout son temps au boulot, comme si la surcharge de travail lui permettait d’évacuer son stress et sa frustration. Ce ne fut pas suffisamment salutaire, car ses nerfs étaient à vif – si bien qu’un jour il insulta un investisseur important. La goutte qui fit déborder le vase. On le remercia de ses services dès le lendemain. Mon père se retrouvait seul, sans moyen. Il avait tout perdu.

On déménagea à Chicago dans le but de recommencer à neuf. Le poids de la pauvreté s’abattait sur nous, si bien que mon père dû mettre fin aux ressources pouvant m’aider à faire du progrès. Il décrocha un emploi comme machiniste dans une usine, à défaut de ne pas trouver un poste dans son domaine. Le salaire était beaucoup moins alléchant, il dû donc doubler d’effort pour parvenir à décrocher un salaire convenable pour leur permettre de vivre décemment. Il dû sacrifier le temps qu’il passait avec nous pour nous permettre d’avoir un toit et de quoi manger. En rentrant de l’école et les week-ends, notre père confiait notre garde au voisin d’appartement; monsieur Anderson. Un homme dans la trentaine, un policier qui avait toujours des histoires fascinantes à raconter. Des descentes et des poursuites dignes d’un film américain. On ne s’ennuyait jamais là-bas et il faisait très certainement les meilleurs spaghettis au monde. C’est justement après l’un de ses délicieux repas que celui-ci nous invita à entrer dans sa chambre sous un douteux prétexte. J’étais bête et j’en ai payé le prix. Ce fut le premier jour d’un dangereux cercle vicieux. J’avais beaucoup de mal à comprendre, mais je savais bien évidemment que ce n’était pas bien. Je n’avais que 10 ans après tout. Cette situation malsaine se prolongea cinq ans. Et puis…il y eu ce jour. Ma sœur, ma douce Alexis s’enleva la vie à 12 ans. Ce fut pour moi la pire souffrance que jamais je n’aurais cru vivre. Elle était mon soutien, ma vie. Je ne pouvais envisager de poursuivre ma vie sans elle à mes côtés. Je tombai, brisé par ce drame que j’aurais voulu empêcher. C’est dans l’incompréhension que mon père retrouva sa fille sans vie, à un si jeune âge. J’aurais dû tout lui dire, mais j’en étais encore une fois incapable. J’étais rongé par le remord, coupable d’avoir gardé le silence.



How I became a murderer

Les années qui suivirent furent impossible à gérer. Je laissai tomber l’école, une perte pas si énorme vu mes échecs conséquents que je trainais depuis toujours. Je ne savais pas comment exprimer ma souffrance autrement que par la fuite. Je m’égarais, jusqu’à ce que la police me ramène chez-moi. Mon père craignait de me perdre aussi, conscient de ma fragilité et de ma difficulté à faire face aux changements. Il savait se qu’elle représentait pour moi et il ignorait comment m’aider à passer au travers. L’année suivante, il me trouva un emploi comme camelot. Il voulait m’occuper l’esprit et m’empêcher de commettre des bêtises. Mais chaque fois que je devais rentrer à la maison, les souvenirs m’agrippaient à la gorge. Depuis la mort de ma sœur, monsieur Anderson ne croisa plus ma route. Le jour où je l’aperçu en travers la fenêtre de son appartement, fut l’élan qui me poussa à la vengeance. Au moment où je lui enfonçais le couteau le plus affilé de la cuisine dans l’estomac j’avais cru que mes problèmes s’envoleraient. Pourtant il n’en était rien…Mon mal n’était pas soulagé. J’avais beau tourné la lame dans sa plaie et le poignarder de nouveau, rien n’y faisait. Il y avait du sang partout dans le petit salon de ce monsieur Anderson et je n’en étais pas plus soulagé. Il refusait tout simplement de mourir. Puis tout était allez si vite par la suite.

On me força à m’assoir dans cette pièce, sans prendre le soin de m’expliquer se qu’on attendait de moi. La teneur de cette rencontre n’était pas un secret, mais j’étais constamment trainé d’un coté où de l’autre, sans obtenir la moindre réponse à mes questions. Dans cette affaire je n’importais pas, j’étais une nuisance. J’avais tué, brisé, déchiqueté et le système n’avait pas su le prévoir. Pour eux, j’étais l’individu embarrassant qui avait passé entre les mailles du filet. Un criminel, un fou. On m’estampa des troubles que je m’empressais de nier. « Il a assassiné son voisin –Edgard Miller, retraité de 65 ans– de 28 coups de couteau. Nous avons retrouvé le jeune homme dans un état de démence. Depuis, il entretient toujours le même discours incohérent. Le patient prétend ne pas connaitre ce monsieur Miller, sauvagement assassiné. Sa version confuse traite plutôt d’un Erick Anderson, officier de police, qui serait apparemment toujours en vie (Note : Aucun Erick Anderson ne correspond à la description du patient). Il prétend entre autre, que c’est celui-ci qui est responsable du décès de sa sœur. Une enquête à récemment été ouverte à ce sujet. Le patient est tenu comme principal suspect de cette affaire. ». Je n’avais pas le droit de m’objecter, on me faisait rapidement taire. Encore une fois, le scénario se répèterait. Je serais assommé par leur question auquel je n’avais pas les réponses. J’avais la nausée, j’étais épuisé et je cherchais désespérément un repère sur lequel me concentrer et oublier cet enfer. Mon regard glissa sur l’horloge accroché au mur. Elle indiquait 22h22 et instinctivement je souhaitai pouvoir me sortir de cette situation, qu'on comprenne la légitimité de mon acte. Un faible sourire fendit mes lèvres. C’était la dernière fois que j’affichais ce rictus, à ce jour. La porte s’ouvrit d’un bruit sourd et un homme pénétra dans la pièce. Ils se succédaient un a un à un tel point que je n’arrivais plus à les différencier. Il posa un dossier sur la table et s’assit face à moi, sans me jeter le moindre regard. Il était froid, dur et ne dérogeait pas de son rôle autoritaire qu’il campait avec précision. Il chercha dans cette pile de papier qu’il découvrait devant lui, prenant enfin la parole « Alors…Monsieur Harris » Il marqua une pause alors qu’il tira les documents qu’il jugea essentiel pour la suite de cet entretien. Je cru bon de me défendre avant de recevoir les accusations qu’on me jetait par la tête depuis le départ « Je n’ai tué personne! Il n’est pas mort croyez moi. Vous avez bien vérifié! Anderson, Erick Anderson! C’est lui le véritable fautif, c’est lui qui à orchestré tout cela, je n’ai rien à faire ici » L’homme devant moi leva un œil las vers moi, reportant son regard sur une note de son dossier. « Monsieur Erick Anderson ne fait parti d’aucun de nos registres » Dit-il d’une voix monocorde, sans la moindre parcelle d’émotion. « C’est ridicule, vous vous foutez de moi! » Il soupira, mon acharnement à clamer mon innocence l’ennuyait et il ne s’en cachait pas. Il avait même ponctué sa phrase d’un sourire arrogant. Je compris à cet instant l’ampleur du drame. J’étais victime d’un coup monté, visant à protéger un de leur précieux officier. On m’enferma dans cet asile. Mon vœu ne s'était pas réalisé. Plus jamais je n’eu foi en quelques chose.

Pourvu que cela change… pourvu je puisse te rejoindre bientôt Alexis.





© Suika



Dernière édition par Warren M. Harris le Mar 19 Fév - 17:19, édité 2 fois
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Sloane T. Fincher

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MessageSujet: Re: Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber.   Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber. EmptyMar 19 Fév - 2:30

Coucou et bienvenue sur TS Warren ! sushi
Ou je devrais plutôt dire... SEXY Warren ? Mon dieu, Adam. Je meurs d'amour. héhé
En tout cas, bonne chance pour ta fiche et j'espère que tu vas t'amuser ici.
Pis c'est quand même étrange que tu ais trouvé le forum sur le bottin de forumactif avec le nom qu'on avait ahah !
Si t'as des questions, le staff est là de toute façon. gr
Have fun sur le fofo. rol
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Ashton J. Moriarty

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MessageSujet: Re: Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber.   Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber. EmptyMar 19 Fév - 2:35

HEY BIENVENUE PETIT GNOU POILU go
Adam Brody = je t'aime. En plus t'as un prénom cool je trouve. Alors bonne chance pour ta fiche, et je n'espère pas que tu vas t'amuser ici, j'en suis déjà sûre 8)
Sinon, j'avoue que c'est étrange pour le bottin forumactif, mais après tout, tant mieux ! HA

Nous sommes là pour t'aider, te chérir, te donner des bonbons et t'emmener dans notre camionette... Bref, welcome chez les fous HA
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Warren M. Harris

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Warren M. Harris

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MessageSujet: Re: Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber.   Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber. EmptyMar 19 Fév - 3:39

Sexy Warren? Wouaah j'ai la cote avec l'infirmière héhé
En fait, vous avez dû mettre de sacré bon tags pour que je sois tombé sur vous comme ça! En même temps, tant mieux! Moi qui suis pas fan des forums Publicistes j'ai trouvé mon compte avec la bonne vieille méthode. Je vous remercie fort fort de votre accueil plein d'amour et de doux surnoms (Un Gnou poilu c'est forcément doux hein)! Je vais poster mon histoire demain, le plus tôt possible. Après quoi je monte dans ta camionnette Ashton et je fait le voyage sur les genoux de miss Fincher (a) big
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Sloane T. Fincher

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MessageSujet: Re: Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber.   Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber. EmptyMar 19 Fév - 11:25

J'ai hâte de lire ton histoire alors !
Assis sur mes genoux ? Ça me va parfaitement. héhé
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Ashton J. Moriarty

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MessageSujet: Re: Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber.   Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber. EmptyMar 19 Fév - 14:34

En voiture les tizamis leuleu
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Ashton J. Moriarty

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MessageSujet: Re: Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber.   Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber. EmptyMar 19 Fév - 17:57

J'ai le plaisir de te dire que tu es validé ! Dans un premier temps, tu vas devoir recenser ton avatar. Après ça, tu peux dès maintenant faire ta fiche de liens ainsi que faire une demande de métiers si besoin. Pour finir, tu dois faire ta demande de logement. Une fois que tu as terminé tout ça, tu peux t'amuser dans le flood et bien sûr, RP !

(Le double post, c'est pas bien, et ton histoire est juste super bien détaillée, et je sais pas, j'adore HA )
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Warren M. Harris

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Warren M. Harris

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MessageSujet: Re: Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber.   Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber. EmptyMar 19 Fév - 19:12

Oh Yeah merci!
Il ne me reste plus qu'à vous harceler pour des liens yes
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Sloane T. Fincher

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MessageSujet: Re: Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber.   Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber. EmptyMar 19 Fév - 19:22

Wow, super histoire !
Très triste... Vraiment. Have fun. we
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Phoenix Cruz-Wilson

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Phoenix Cruz-Wilson

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MessageSujet: Re: Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber.   Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber. EmptyMar 19 Fév - 19:40

Bienvenue joli brun ouii esclave rock
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MessageSujet: Re: Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber.   Warren ǂ Chaque histoire n’a qu’une fin, on finit tous par tomber. Empty

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