- Les patients atteints d'une maladie plus ou moins grave. Ils n'ont pas tous commis de meurtres affreux à cause d'un dédoublement de personnalité bien entendu, mais souffrent par exemple d'épilepsie ou tout simplement de pure folie. La plupart des personnes ici ne sortiront jamais de l'asile car leur maladie est plus sérieuse. Certains le vivent bien, alors que d'autres cherchent à s'enfuir par tous les moyens, détestant cet endroit qu'ils considèrent comme maudit.




- Ceux-là se sont fait interner pour diverses raisons, mais sûrement pas à cause d'une quelconque maladie. Ils sont tous sains d'esprits, mais étaient trop influents ou gênants pour être laissés dans la nature. On s'est donc empressé de les mettre à l'écart et de les enfermer dans l'asile, là où plus personne n'entendra parler d'eux. Ils essayent tout le temps de s'échapper, se plaignant de l'injustice de leur situation, mais leur liberté future a tout d'une chimère ; ils seraient bien trop encombrants à l'extérieur pour pouvoir sortir d'ici.




- Ici est réuni le personnel de Waverly Hill. Infirmiers, médecins, aides-soignants et bien d'autres sont indispensables à la vie de l'institution, car les patients ont toujours besoin d'être surveillés et de vivre dans des conditions à peu près décentes. Certains se sentent vraiment concernés par le bien-être des résidents, alors que d'autres ne supportent plus l'ambiance à l'intérieur et se vengent parfois en était trop brutaux avec les malades, ou même en les délaissant. Il est vrai que c'est un travail difficile et contraignant, mais ce sont eux qui l'ont choisi, non ?




- Ce sont les personnes extérieures à l'hôpital. Elles vivent leur petite vie tranquille de citoyen, car l'Etat les a jugées comme saines d'esprit. Néanmoins, elles sont plus ou moins reliées à Waverly Hill, ayant de la famille où un ami interné. C'est donc souvent qu'elles s'y rendent et en connaissent l'intérieur. Certaines trouvent que l'asile est une bonne chose, essentielle pour conserver la sécurité de la ville, d'autres sont au contraire horrifiées par les conditions de vie de l'établissement. Pour l'instant, toutes ces personnes ont la chance d'y échapper, mais jusqu'à combien de temps ?

© Suika